Les membres du Cercle du Renouvellement Constitutionnel présentent leurs définitions du terme “Oligocratie”.
10. La présente Charte inspire l’action européenne et internationale de la France.
Les membres du Cercle du Renouvellement Constitutionnel analysent la charte de l’Environnement 2004
Pénalités de l’article 10 :
- Néant.
Les membres du Cercle du Renouvellement Constitutionnel présentent leurs définitions du terme “Populisme”.
Les membres du Cercle du Renouvellement Constitutionnel présentent leurs définitions des termes “Humain et Citoyen”.
9. La recherche et l’innovation doivent apporter leur concours à la préservation et à la mise en valeur de l’environnement.
Les membres du Cercle du Renouvellement Constitutionnel analysent la charte de l’Environnement 2004
Un bon point pour l’instauration du droit d’accès citoyens aux informations détenues par les autorités publiques.
Pénalités de l’article 9 :
- 1 bon point pour l’intention, mais un soupçon de pénalité pour les chiffres réels qui ne semblent pas traduire dans les budgets concernés cette intention louable.
8. L’éducation et la formation à l’environnement doivent contribuer à l’exercice des droits et devoirs définis par la présente Charte.
Les membres du Cercle du Renouvellement Constitutionnel analysent la charte de l’Environnement 2004
Pénalités de l’article 8 :
- 1 point de pénalité pour l’utilisation inappropriée du mot “contribuer”. En effet l’exercice des droits et devoirs du citoyen et des collectivités sont contrôlés par la loi ordinaire qui établit notamment des sanctions circonstanciées. L’éducation et la formation ne peut donc qu’”inciter” à l’exercice, sauf à leur conférer un caractère coercitif, ce qui serait, au mieux anticonstitutionnel et au pire, tyrannique.
- 1 véto global et absolu compte tenu de ce qui découle du point de pénalité précédent pour le soupçon d’attribution à l’éducation nationale une vocation contre républicaine de gendarme de la loi.
Lien évoqué lors de cette séance : L’éducation à l’environnement et au développement durable.
Les membres du Cercle du Renouvellement Constitutionnel présentent leurs définitions des termes Intérêt général et Service public.
Intérêt général
Christian
L’intérêt général est une notion qui doit guider la rédaction de la loi et les actes de l’administration publique. Dans chaque domaine considéré, l’intérêt général ne peut être déterminé que par la majorité des citoyens librement assemblés.
Luc
C3-A13-I4 – Intérêt général
Conception de ce qui est bénéfique à la Collectivité (général), conception pouvant éventuellement varier selon les époques, les opinions et les Institutions. Elle est formalisée par les Textes et conformément à ceux-ci, et ainsi légitime les actions de l’État.
Jean-Charles
Prétexte au Droit / Justification ultime de l’exercice du pouvoir.
Service public
Luc
C3-A13-S2 – Service public
Activité d’Intérêt général assurée par les Institutions de la République, soit directement ou bien par délégation.
Jean-Charles
Démonstration ultime de la fragilité de l’Homme, de son angoisse existentielle et extension du domaine régalien.
Quelques liens qui documentent le sujet :
- https://www.conseil-constitutionnel.fr/nouveaux-cahiers-du-conseil-constitutionnel/l-interet-general-instrument-efficace-de-protection-des-droits-fondamentaux
- https://www.conseil-etat.fr/publications-colloques/etudes/reflexions-sur-l-interet-general-rapport-public-1999
- https://journals.openedition.org/asterion/2996
7. Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement.
Les membres du Cercle du Renouvellement Constitutionnel analysent la charte de l’Environnement 2004
Un bon point pour l’instauration du droit d’accès citoyens aux informations détenues par les autorités publiques.
Pénalités de l’article 7 :
- Un point de pénalité pour imprécision sur les conditions de participation des citoyens aux décisions publiques.
- Un point de pénalité pour absence d’instauration d’un droit d’accès citoyen aux informations détenues par les autorités privées.
6. Les politiques publiques doivent promouvoir un développement durable. A cet effet, elles concilient la protection et la mise en valeur de l’environnement, le développement économique et le progrès social.
Les membres du Cercle du Renouvellement Constitutionnel analysent la charte de l’Environnement 2004
Pénalités de l’article 6 :
- 1 point de pénalité pour imprécision sur les concepts d’intérêt général (dérivé de la notion de politiques publiques évoquée ici) d’une part et de développement durable d’autre part, ainsi que sur leur mise en relation.
- 1 point de pénalité pour inconsistance, les 4 objectifs énoncés étant au moins en partie incompatibles entre eux.
5. Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en oeuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage.
Les membres du Cercle du Renouvellement Constitutionnel analysent la charte de l’Environnement 2004
Pénalités de l’article 5 :
- 1 point de pénalité pour ne rien prévoir concernant les dommages certains.
- 1 point de pénalité pour autoriser les dommages réversibles (même graves).
- 1 point de pénalité pour invocation d’un principe qui n’est pas défini (principe de précaution).
- 1 point de pénalité pour imprécision sur les domaines d’attribution.
- 1 point de pénalité pour imprécision sur la proportionnalité (cout acceptable ?).